Balbutiantes, tremblantes et moites, elles me découvraient
encore effarouchées par ces courbes et déliés, surtout émues devant ces contrées inconnues
Elles s'enhardissaient, s'aventuraient, tantôt virevoltantes, tantôt fébriles et bouillonnantes
Je m'abandonnais à leur effleurement tendre et captivant
Je palpitais à leur rythme
Démiurges passionnés, elles me façonnaient patiemment, faisant parcourir l'onde originelle à chaque cellule de mon épiderme
Mon corps vibrait, résonnait et chantait sous les caresses de tes déesses-mains
Oui, elles seules, par leur danse mystique faisaient jaillir cette sensualité extatique
Dieu, que je les aime tes déesses-mains !
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